J’ai commencé à recevoir de nombreux appels téléphoniques de clients potentiels.
Au-delà du bouche à-oreille de mon réseau, ils me découvrent maintenant par le Web. Mon numéro de téléphone est mis en évidence sur tout mon site Web. Pour ma génération et plus jeune (j’ai 33 ans), le téléphone est anxiogène. D’un «dring!», on apprend qu’on doit passer un exposé oral sur une question encore inconnue, et affronter le jugement de la classe. Pas étonnant que je me fasse approcher beaucoup par Messenger.
Néanmoins, le téléphone me permet d’obtenir les détails en 10 minutes ce que 4 courriels en 2 semaines alloueraient. Il me permet de lier une connexion spéciale avec mes clients photographes, vidéastes, coordonnateurs ou planificateurs : quand on se rencontre, on se connaît déjà à moitié, c’est facilitant.